Proposé en octobre dernier à l’occasion du lancement de la nouvelle version du site Aerocontact, le Jeu-Concours a rassemblé pas moins de 2500 participants.
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Si vous aviez les bonnes réponses, encore fallait-il être tiré au sort. C’est sous l’oeil avisé d’un huissier de justice qu’André, Nicolas et Abdelhakim ont remporté les blousons promis aux vainqueurs. Contactés par la rédaction, les trois hommes avaient rendez-vous ce vendredi chez Aerobatix pour recevoir leurs récompenses.
La petite boutique est située dans le 3ème arrondissement, au coeur du Marais parisien. Le logo ne trompe pas, c’est bien de vêtements inspirés par l’aérien qu’il s’agit. Aerobatix, jeune marque française de prêt à porter masculin, était le partenaire du jeu. André, consultant-expert en aéronautique est venu de Beauvais avec sa femme, Catherine. Ce fils d’un instructeur de voltige aux 22 000 heures de vol n’est pas là par hasard. Passionné, c’est avec un sincère enthousiasme qu’il nous fait part de ses aventures. « Pour une fois que je gagne quelque chose ! » précise-t-il.
Yaël Benhammou, Co-fondatrice et Directrice de la marque est présente pour lui remettre le blouson en cuir « Mermoz » qu’il a remporté. « Nous avions fait un partenariat l’an passé et nous sommes ravis d’être associés à ce jeu-concours cette année » souligne-t-elle. Cette jeune entrepreneuse a en effet de jolies ambitions pour sa marque, comptant déjà des partenaires de renom tels que l’EVAA, Air France ou la FFA. Issue d’une famille au sein de laquelle le virus de l’aviation se transmet de génération en génération, la jeune femme, également envoutée par la mode, rassemble avec Aerobatix les deux univers qui lui tiennent à coeur. « Nous avons ouvert la boutique l’an dernier. Pour 2017, nous prévoyons de proposer des nouveautés tout au long de l’année ainsi que de diversifier nos créations avec de la petite maroquinerie. La fabrication est française et nous en sommes fiers » souligne-t-elle.
Cette soirée se termine et les deux autres gagnants n’ayant pu se déplacer ne seront pas en reste : les blousons « Blériot » partiront dans les jours qui viennent par voie postale … aérienne, sans doute.
