Яхтинг во Франции и Монако

Dossier NBAA 2017

•  Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (7/7) : Les turbopropulseurs ont un coup à jouer

•  Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (6/7) : Avoir une offre appropriée

•  Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (5/7) : Un éventail de causes

•  Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (4/7) : Les nouveaux programmes manquent à l’appel

•  Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (3/7) : Les livraisons tournent également au ralenti

Яхты во Франции: каталог яхт с фото

•  Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (2/7) : Les ventes restent faibles

•  Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (1/7) : L’Europe et la France en forme

•  Dassault reste discret sur son futur projet

•  Embraer continue de miser sur l’évolution avec le Phenom 300E

•  Gulfstream pousse les G500 et G600 au-delà des attentes

•  Nouveau retard pour le Dassault Falcon 5X et le Silvercrest

L’absence actuelle de reprise forte dans les ventes de l’aviation d’affaires va de pair avec une absence de nouveaux programmes. A priori, c’est une conséquence de la faiblesse des ventes et de la production, mais on peut également y voir l’une de ses causes. Car, à en croire Michael Amalfitano, P-DG d’Embraer Executive Jets, ce sont les nouveaux produits qui stimulent les ventes.

Comme pour les livraisons, cette situation contraste avec le début des années 2010 où les lancements de programmes pullulaient : Bombardier Global 7000/8000, Cessna Citation Latitude/Longitude, Dassault Falcon 5X/8X ou encore Gulfstream G500/600, pour ne citer qu’eux. Et ce malgré des conditions de marché plus défavorables. Certes, l’enchaînement des crises a retardé certains de ces lancements…