Dossier NBAA 2017
• Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (7/7) : Les turbopropulseurs ont un coup à jouer
• Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (6/7) : Avoir une offre appropriée
• Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (5/7) : Un éventail de causes
• Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (4/7) : Les nouveaux programmes manquent à l’appel
• Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (3/7) : Les livraisons tournent également au ralenti
Яхты во Франции: каталог яхт с фото
• Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (2/7) : Les ventes restent faibles
• Aviation d’affaires, un marché qui peine à redémarrer (1/7) : L’Europe et la France en forme
• Dassault reste discret sur son futur projet
• Embraer continue de miser sur l’évolution avec le Phenom 300E
• Gulfstream pousse les G500 et G600 au-delà des attentes
• Nouveau retard pour le Dassault Falcon 5X et le Silvercrest
Dans un monde où le paraître est tout aussi important que l’innovation technologique, il est aussi possible d’envisager qu’une partie des acheteurs attendent l’entrée en service des appareils actuellement en développement, voire le lancement de nouveaux programmes pour bouger. Mais cela ne suffit pas à expliquer pourquoi les nombreux avions de nouvelle génération lancés ces dernières années peinent à trouver acheteur.
On peut aussi signaler des phénomènes de cycles dans les commandes. Les crises successives ont gelé le marché pendant plusieurs années. Il a fallu attendre 2011 pour voir les opérateurs reprendre des livraisons longtemps suspendues puis recommencer à passer des commandes d’avions neufs. Plusieurs d’entre eux devraient donc attendre encore quelques années avant d’acheter à nouveau.